À les voir tout dévaster sur leur passage j’ai peine à croire ces nouvelles théories qui nous apparentent à cette engeance.

Selon les savants de l’Académie nous aurions avec cette vermine des aïeux communs faisant de nous de lointains cousins. On ne peut nier une ressemblance non négligeable et certaines caractéristiques proches mais tout de même… Si ces allégations devaient se vérifier ce serait un cuisant rappel à l’ordre naturel et une source d’interrogations perturbantes.
Néanmoins il faut reconnaître que pour civilisés que nous sommes ils nous arrivent de causer des ravages substantielles pour des motifs moins impérieux que les leurs.

Peut-être avons-nous évolué sans changer.
Nous causons des dégâts pour satisfaire eux leur instinct nous des desseins plus raffinés.

 

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