Avec les beaux jours (ah ah) je peux reprendre la couverture restée inachevée…

Je suis longtemps resté bloqué sur l‘épineuse succession de plans en volume qui ne doivent pas prendre trop de relief. Il semblerait que j’ai trouvé comment déverrouiller la situation, encore faut-il mettre en pratique ce qui, en projection, est réalisable.

Je sais combien textures et matières viennent gripper les rouages d’un modèle mental fluide et lisse.

“Pas de mécanique sans jeu” est une formule que j’ai empruntée à un des mécanos de là où je travaille, trouvant que ça aurait fait un bon titre de roman je l’emploie pour un titre d’article de ce blog, faute de temps et d’idée de roman à écrire autour.

Vous remarquerez que je ne dit même pas “faute de talent” parce que j’ai décidé de dire qu’en fait j’ai beaucoup de talents, plein, mais pas l’opportunité d’en faire la preuve. Voilà. J’essaie, on verra bien.
Après tout, ça semble bien marcher pour pas mal de monde cette formule et je ne me sens pas différent de la plupart des gens.

 

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