Image vectorielle : contrairement à l'image bitmap, celle ci n'a pas une structure de mosaïque de petits points mais elle est faite de points reliés par des droites ou des courbes dessinant des lignes et définissant des surfaces plus ou moins complexes.

Cette qualité de structure la rend plus souple lors d'opérations d'agrandissements ou de déformations. En effet ces courbes étant gerée par le logiciel en tant que vecteurs, elles sont « élastiques et extensibles », recalculées au fur et à mesure par l'ordinateur.

Dans ma conception sommaire du vecteur, celui ci est constitué d'un point et d'une direction vers laquelle tendre avec plus ou moins de force. Ces données ne perdent pas en qualité selon la distance d'observation, tandis qu'une ligne tracée à base de caillou parait grossière quand on a le nez dessus et illisible à distance.

Je tiens à rassurer les gens qui souhaiteraient se mettre à l'infographie et qui auraient des lacunes en mathématiques ou (et) en géométrie : grâce à l'ergonomie actuelle des logiciels, il n'est pas nécessaire de posséder de grandes notions dans ces domaines, des bases très primaires suffisent. Ensuite, de bons restes de vos cours de lycée (même des filières littéraires) restent un plus qui le cas échéant pourra vous faire gagner du temps.

En fait, un logiciel de traitement de texte pourrait vous demander davantage de connaissances dans ces domaines qu'un logiciel de traitement d'image...